Ce deuxième tome du Cycle du Pêcheur raconte l’histoire d’Aube, qu’on retrouve à la fin d’un amour où elle a tout donné, et s’est perdue. Elle décide donc, après avoir porté toute sa vie des noms que d’autres lui avaient donnés, de partir à la recherche d’un nom qu’elle se choisirait elle-même.
Sur le sujet: Roxane Marie Galliez
Le pêcheur d’étoiles
Sur les rives de la Phénicie, Barbar craint ses nuits. Pour lui, l’aube est un rituel, puisqu’elle revient toujours. C’est aussi un besoin, car chaque aube apporte la promesse d’un rêve et d’un ailleurs. La promesse, surtout, de lui apprendre qui il est.
L’homme en carton
Cet album est une réussite en partant, ne serait-ce que parce qu’il ouvre un dialogue sur une réalité qui appartient à tout le monde. Une réalité qui s’infuse délicatement dans les illustrations par des effets de collage aux textures presque palpables : des tissus, des pétales, une mie de pain, du papier journal aux replis chargés d’histoires.
Dans les yeux de Léna
Léna est née petite fille. Mais tout doucement, son langage change, son corps devient fragile, ses bras apprennent tout seuls les mouvements des ailes qui s’apprêtent à s’envoler.